Au centre des préoccupations sanitaires du moment, le nouveau variant Omicron qui se propage très rapidement dans le monde. Toutefois, le mal, qui devrait devenir dominant en Europe d’ici le début de l’année, semble présenter des symptômes légers, rapporte Rtl.fr.
Selon Jean Castex, il pourrait même être « dominant » dès janvier prochain. Pour preuve, on dénombre déjà de nombreux cas en Europe et en France. Cette mutation « va se diffuser très rapidement au point de devenir dominant dès le début de l’année 2022 », a estimé vendredi 17 décembre le Premier ministre.
Notons que les symptômes de ce nouveau variant sont divers. A ce titre, ça va d’une grande fatigue, aux courbatures en passant par des maux de gorge et une forte toux. En revanche, on ne signale pas de perte du goût ni de l’odorat n’ont, pour l’heure. Toutefois, l’ordre d’apparition de ces symptômes varie de ceux de la souche originelle du coronavirus. Plus précisément, la toux apparaîtrait avant la fièvre dans le cas d’une contamination au variant Omicron.
En début de semaine, un médecin sud-africain a déclaré que de nombreux cas de sueurs nocturnes s’étaient déclarés. En rappel, les sueurs nocturnes (épisodes de transpiration extrême durant le sommeil) peuvent faire partie des symptômes du variant Delta, mais apparaissent beaucoup moins souvent.
Un peu plus de 300 cas de contaminations à ce nouveau variant du coronavirus ont été officiellement recensés en France à la mi-décembre. Un chiffre qui pourrait être sous-évalué.