Afin de réclamer ses arriérés de salaire impayés, A. employé comme domestique, a mis enceinte la fille de son patron. C’est une histoire aussi insolite que vraie !
A, trentenaire, employé depuis plus de trois ans chez un homme d’affaire est pris en tenaille par son patron et les membres de la famille. Il est accusé d’avoir enceinté la fille de son patron, âgée d’une vingtaine d’années.
Convoqué tôt le matin du week-end dernier par son patron qui accuse un retard de au moins six mois d’arriérés de salaire, A. croit enfin entrer en possession de son dû et promet à ses amis que leur week-end sera lumineux. Mais c’est sans savoir ce qui l’attendait chez son patron. A l’allure joyeuse, pour arriver à l’heure chez son patron, c’est à une joie amère qu’il a fait face une fois sur place.
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L’interrogation est bien musclée. Seul, face à une dizaine de personnes, on présente la fille enceinte et on lui demande s’il reconnaît avoir couché avec elle. Chose qu’il balaie d’un revers de main au début. Mais sous la pression et la menace, ce dernier a fini par reconnaître les faits qui lui sont reprochés mais réfute être l’auteur de la grossesse.
Après plusieurs heures de discussions, A. tombe sous le coup des menaces, il avoue qu’il est l’auteur de la grossesse. « Comment pourrais-tu justifier un tel acte du fait que je te prends comme mon enfant ? », interroge le patron.
N’étant pas préparé à faire face à une telle interrogation, l’accusé tente de justifier son tort par les six mois d’arriérés. « Patron, si cela est arrivé, c’est parce que j’ai des arriérés de six mois de salaire. Donc c’est de la même façon que vous avez mal pour votre fille que moi aussi je supporte mal pour mes arriérés de salaire », explique-t-il, son forfait.
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Cette réponse a provoqué la colère de toute la famille qui s’est rouée sur lui avec des coups de toutes parts. Malgré tout cela, A. crie à tue-tête que son patron peut utiliser ses arriérés de salaire pour s’occuper de sa fille. Très nerveux du raisonnement de son employé, le patron fait transférer A. manu-militari dans un commissariat de la place.