On l’a compris finalement. Debordo semble ne plus être de cœur avec plusieurs de ses pairs. Récemment, c’est Asalfo, le ‘‘boss’’ du groupe mythique ivoirien Magic System, Asalfo, qui est rentré dans la danse pour l’interpeler, mais l’encourager aussi.
Depuis un moment, on ne finit pas d’entendre parler de Debordo Leekunfa sur la toile à cause de ses sorties discutables. En effet, le chanteur ivoirien a sorti la hache de guerre d’abord contre Fally Ipupa. Tout a commencé depuis l’annonce de concerts de la star congolaise prévus en Côte d’Ivoire pour décembre prochain.
En revanche, l’aspect que Debordo n’a pas digéré du tout, ce sont les prix d’entrées probablement plus élevés que ceux de l’année passée. Pour sa défense, il a ajouté être bien meilleur que Dicap la Merveille et tous les autres artistes congolais. Plus loin, l’artiste a même promis entre autres de gâter la prochaine prestation de l’Empereur 4K à Abidjan. Ensuite, Debordo a enchainé en se moquant de Molare à cause de la villa offerte à Safarel Obiang, le grand vainqueur des Primud 2019.
Critiqué sans pitié après tout ça, il avait finalement fait amende honorable avec la promesse de ne plus se prononcer désormais. Cependant quelques temps seulement après ces excuses, Debordo Leekunfa a rebondi dans un direct sur sa page Facebook en ces termes : « Je ne suis plus ivoirien. J’appartiens à l’Afrique. Être ivoirien est une malédiction parce que ça ne te fera jamais avancer en tant qu’artiste (…) Les Ivoiriens sont des suceurs ».
Cette ixième apparition du musicien a mis le feu sur les réseaux sociaux. Ce qui a provoqué encore une pléthore de commentaires notamment celui d’Asalfo sur sa page Facebook. Ce dernier a demandé d’abord a demandé à Debordo de faire balle à terre en ensuite a convié ses fans à être prêt pour la prochaine tuerie musicale de l’artiste.
« Même si tu dérailles souvent à “tes heures perdues”, tu demeures l’un des plus talentueux de ta génération. À vos marques, le “Detounounan” de Mimi l’Africain, c’est seulement dans quelques jours. Petit pardon, dose un peu dans tes prises de position, sinon ilé yèrè be nã tounou », a déclaré Asalfo.