À 17 ans, Samuel Eto’o ne se contentait pas de rêver de gloire sur les terrains de football. Loin de là, l’ancien attaquant des Lions Indomptables avait déjà un pied dans l’avenir avec un projet ambitieux : la construction de sa première résidence. Cette information, partagée lors d’un entretien avec le journaliste Martial Bissog, illustre la vision stratégique de l’un des plus grands footballeurs africains.
Le fruit de son premier contrat
C’est à Kribi, une ville balnéaire du Cameroun, que la star du FC Barcelone a choisi d’implanter sa villa en bord de mer, un véritable symbole de son succès. La résidence, saluée pour son architecture épurée et imposante, a été financée par le premier contrat professionnel d’Eto’o, à un âge où beaucoup d’adolescents rêvent seulement de jouer au football. « J’ai construit cette résidence quand j’avais 17 ans », a-t-il déclaré avec un sourire en coin, soulignant ainsi sa volonté de penser à long terme.
Une stratégie claire pour l’avenir
Derrière ce projet immobilier se cache une stratégie bien plus vaste : Eto’o a toujours cherché à bâtir un patrimoine solide, ne laissant rien au hasard. Tandis que certains de ses contemporains se concentraient exclusivement sur leur carrière sportive, Eto’o envisageait déjà des investissements pour garantir son avenir et celui de sa famille. Ce choix audacieux révèle son caractère ambitieux et déterminé.
Un exemple pour la jeunesse africaine
Aujourd’hui, cette villa est bien plus qu’un simple lieu de résidence. Elle incarne l’ascension d’un homme qui n’a pas seulement rêvé, mais qui a agi pour transformer sa vie et celle des siens. Samuel Eto’o, devenu président de la Fédération camerounaise de football, est un modèle pour les jeunes africains, leur montrant qu’avec du travail et une vision claire, tout est possible, sur le terrain comme en dehors.